vous écoutez quoi à l\'instant

Laurent Bigot a écrit:

Frankystooge a écrit:

Eric a écrit:

c'est bien ? J'avais écouté un titre assez délirant.

honnête babouzerie.

vraiment pour fans de Gong

L'album solo du mec de Foxygen, j'étais pas très convaincu au départ mais il y a des bon morceaux pop/psych, White Fence est en guest sur quelque morceaux.

Hanemone a écrit:

ZiGGy a écrit:

En sortant les bouquins des cartons, j'ai rouvert le Hellfire de Nick Tosches, et n'ai pu m’empêcher de le relire - je rappel que c'est une lecture INDISPENSABLE.

+1

Oué, hé, bousculez pas, moué aussi je plussoie.

( désolé c'est la seule image que j'ai trouvée)

Impressions à la première écoute, un jour a eu lieu ce dialogue: 

"Salut, j'adore les Kills
- Et moi j'ai deux disques de PJ Harvey chez moi
- On monte un groupe?
- OK".

Ca a donné ce disque.

Laurent Bigot a écrit:

Hanemone a écrit:

ZiGGy a écrit:

En sortant les bouquins des cartons, j'ai rouvert le Hellfire de Nick Tosches, et n'ai pu m’empêcher de le relire - je rappel que c'est une lecture INDISPENSABLE.

+1

Béroalde De Fuzz a écrit:

Oué, hé, bousculez pas, moué aussi je plussoie.

pourquoi ???

ratel a écrit:

pourquoi ???

+1  (et j'ai aucun Jerry lee sur mes étagères  )

Cool Jerk a écrit:

(et j'ai aucun Jerry lee sur mes étagères  )

Hou la honte.

Ratel, pas sûr que le Tosches relève de ton horizon d'attente: c'est plus stylistique (amplification mythologique; atmosphère gothique sudiste; bio frénétique et enflée) que musicologique. Tu risques de le classer au rayon "littérature", c'est dire.

ah ça oui alors, ça se classe carrément au rayon littérature, c'est son intérêt
et je ne dis pas qu'un txt musicologique n'aurait pas eu d'intérêt hein mais là pour le coup c'est vraiment le traitement littéraire du mythe qui est réussi

Béroalde De Fuzz a écrit:

Cool Jerk a écrit:

(et j'ai aucun Jerry lee sur mes étagères  )

Hou la honte.

Ratel, pas sûr que le Tosches relève de ton horizon d'attente: c'est plus stylistique (amplification mythologique; atmosphère gothique sudiste; bio frénétique et enflée) que musicologique. Tu risques de le classer au rayon "littérature", c'est dire.

Mais y'a Blackface (Where dead voices gather), meilleur encore et plus proche de ses "horizons d'attente".

Laurent Bigot a écrit:

Hanemone a écrit:

ZiGGy a écrit:

En sortant les bouquins des cartons, j'ai rouvert le Hellfire de Nick Tosches, et n'ai pu m’empêcher de le relire - je rappel que c'est une lecture INDISPENSABLE.

+1

Béroalde De Fuzz a écrit:

Oué, hé, bousculez pas, moué aussi je plussoie.

Cool Jerk a écrit:

ratel a écrit:

pourquoi ???

+1  (et j'ai aucun Jerry lee sur mes étagères  )

Je m'associe à ce concert de +1

beat4less a écrit:

     

Avec l'illustration du Fuzz c'est à rendre dingue : http://www.planetgong.fr/article-the-sweet-ballroom-blits-les-outrageux-du-glam-episode-3-120497119.html

ah ben tout pareil là à l'instant   

RIP Fast Eddie, batteur du groupe

Faich'. On sait de quoi il est mort ?

(c'est... un concours de circonstances chelou, j'ai gagné des enchères ebay sur ce disque hier soir.)

Grand disque ça (que j'aurais certainement jamais connu sans planetgong soit dit en passant).
Le batteur, ben c'est le batteur ça fait pas un disque, mais putain il envoie...

Béroalde De Fuzz a écrit:

Ratel, pas sûr que le Tosches relève de ton horizon d'attente: c'est plus stylistique (amplification mythologique; atmosphère gothique sudiste; bio frénétique et enflée) que musicologique. Tu risques de le classer au rayon "littérature", c'est dire.

Hanemone a écrit:

ah ça oui alors, ça se classe carrément au rayon littérature, c'est son intérêt
et je ne dis pas qu'un txt musicologique n'aurait pas eu d'intérêt hein mais là pour le coup c'est vraiment le traitement littéraire du mythe qui est réussi

soit. je ne contesterai pas mon peu de goût pour la littérature en général, mais parfois j'en lis. donc, c'est quoi son intérêt littéraire ??? passkeu 

Nick Tosches a écrit:

“And, of course, that is what all of this is - all of this: the one song, ever changing, ever reincarnated, that speaks somehow from and to and for that which is ineffable within us and without us, that is both prayer and deliverance, folly and wisdom, that inspires us to dance or smile or simply to go on, senselessly, incomprehensibly, beatifically, in the face of mortality and the truth that our lives are more ill-writ, ill-rhymed and fleeting than any song, except perhaps those songs - that song, endlesly reincarnated - born of that truth, be it the moon and June of that truth, or the wordless blue moan, or the rotgut or the elegant poetry of it. That nameless black-hulled ship of Ulysses, that long black train, that Terraplane, that mystery train, that Rocket '88', that Buick 6 - same journey, same miracle, same end and endlessness.”

ben niveau style, ça me rebute franchement. et pour le très peu que je perçois de l'émotion derrière... elle me donnerait plutôt envie de prendre une douche. c'est non-représentatif comme citation ?

ratel a écrit:

Béroalde De Fuzz a écrit:

Ratel, pas sûr que le Tosches relève de ton horizon d'attente: c'est plus stylistique (amplification mythologique; atmosphère gothique sudiste; bio frénétique et enflée) que musicologique. Tu risques de le classer au rayon "littérature", c'est dire.

Hanemone a écrit:

ah ça oui alors, ça se classe carrément au rayon littérature, c'est son intérêt
et je ne dis pas qu'un txt musicologique n'aurait pas eu d'intérêt hein mais là pour le coup c'est vraiment le traitement littéraire du mythe qui est réussi

soit. je ne contesterai pas mon peu de goût pour la littérature en général, mais parfois j'en lis. donc, c'est quoi son intérêt littéraire ??? passkeu 

Nick Tosches a écrit:

“And, of course, that is what all of this is - all of this: the one song, ever changing, ever reincarnated, that speaks somehow from and to and for that which is ineffable within us and without us, that is both prayer and deliverance, folly and wisdom, that inspires us to dance or smile or simply to go on, senselessly, incomprehensibly, beatifically, in the face of mortality and the truth that our lives are more ill-writ, ill-rhymed and fleeting than any song, except perhaps those songs - that song, endlesly reincarnated - born of that truth, be it the moon and June of that truth, or the wordless blue moan, or the rotgut or the elegant poetry of it. That nameless black-hulled ship of Ulysses, that long black train, that Terraplane, that mystery train, that Rocket '88', that Buick 6 - same journey, same miracle, same end and endlessness.”

ben niveau style, ça me rebute franchement. et pour le très peu que je perçois de l'émotion derrière... elle me donnerait plutôt envie de prendre une douche. c'est non-représentatif comme citation ?

ouais t'aime pas l'emphase quoi
faut adhérer disons à "l'exubérance" du récit qui rend compte de celle du mec, de son délire mystique tout ça tout ça

(ah et petite précision : étant hérétique, je l'ai lu en français)

beat4less a écrit:

le batteur ça fait pas un disque, ...

y a des exceptions

très beau et tout ça, mais vraiment pas ma came.

Laurent Bigot a écrit:

super album, super groupe !

Hanemone a écrit:

ratel a écrit:

Béroalde De Fuzz a écrit:

Ratel, pas sûr que le Tosches relève de ton horizon d'attente: c'est plus stylistique (amplification mythologique; atmosphère gothique sudiste; bio frénétique et enflée) que musicologique. Tu risques de le classer au rayon "littérature", c'est dire.

Hanemone a écrit:

ah ça oui alors, ça se classe carrément au rayon littérature, c'est son intérêt
et je ne dis pas qu'un txt musicologique n'aurait pas eu d'intérêt hein mais là pour le coup c'est vraiment le traitement littéraire du mythe qui est réussi

soit. je ne contesterai pas mon peu de goût pour la littérature en général, mais parfois j'en lis. donc, c'est quoi son intérêt littéraire ??? passkeu 

Nick Tosches a écrit:

“And, of course, that is what all of this is - all of this: the one song, ever changing, ever reincarnated, that speaks somehow from and to and for that which is ineffable within us and without us, that is both prayer and deliverance, folly and wisdom, that inspires us to dance or smile or simply to go on, senselessly, incomprehensibly, beatifically, in the face of mortality and the truth that our lives are more ill-writ, ill-rhymed and fleeting than any song, except perhaps those songs - that song, endlesly reincarnated - born of that truth, be it the moon and June of that truth, or the wordless blue moan, or the rotgut or the elegant poetry of it. That nameless black-hulled ship of Ulysses, that long black train, that Terraplane, that mystery train, that Rocket '88', that Buick 6 - same journey, same miracle, same end and endlessness.”

ben niveau style, ça me rebute franchement. et pour le très peu que je perçois de l'émotion derrière... elle me donnerait plutôt envie de prendre une douche. c'est non-représentatif comme citation ?

ouais t'aime pas l'emphase quoi
faut adhérer disons à "l'exubérance" du récit qui rend compte de celle du mec, de son délire mystique tout ça tout ça

(ah et petite précision : étant hérétique, je l'ai lu en français)

ben si, j'aime bien l'emphase, mais là j'en perçois pas, juste de la verbosité arythmique emballant du poncif - essayer de déclamer ça, c'est une vraie corvée. comme en plus le poncif me semble creux, faux, et moralement répugnant...


NB : malgré les apparences, ce n'est pas pure provoc' trollesque de ma part : mon incapacité à saisir ce que vous pouvez bien y trouver me préoccupe assez pour me faire complètement planter mon flipper matinal