Séries

C'est le cas de tout ce qu'il fait.

Perso j'ai vu l'ensemble (Lucky Louie, Louie, les stand-ups), et...

Autant ça peut être parfois sympa, autant j'ai un mal fou avec Louie parce que regarder cette série est une souffrance. Pas d'abruti ou de personnage bête, non, juste la souffrance de la solitude, l'humour du désespoir... C'est peut-être une série d'humour mais c'est quand même atrocement glauque et ça me colle carrément mal à l'aise par moments.

Guic' the old a écrit:

ZiGGy a écrit:

J'ai du voir dix fois Friends, j'aime beaucoup et j'aimais encore plus il y a 15 an quand c'était moderne. Mais même alors, je n'aurai pas dit "meilleure série du monde", et moins encore pour Dr House, quoi que les quatre premières saisons soit assez excellentes pour que je m'en sois tapé certaines en marathons d'une journée. Mais faut pas déconner avec les "meilleurs du monde".

Exactement. "Meilleurs du monde" accolés à ces séries, c'est au mieux un manque de discernement, au pire, un manque de connaissances.
(En sitcom, il y en a quelques unes devant Friends - dont Seinfeld, mais en drama, y en a teeeeelllllement devant House!!)

Ah ah
Quand je dis meilleures séries du monde je déconne évidemment, parce que toutes celles que j'ai vu je les mets dans les meilleures séries du monde (donc en plus de Friends et House, Breaking Bad et Malcolm - quoi "puceau"?) (je rappelle que j'ai pas internet et pas le câble ). Cela dit, je trouve Friends parfaite dans le genre "je suis seul je mate une série ça y est j'ai des copains", et je trouve House hyper balèze sur toutes les saisons mais je vous expliquerai pas pourquoi parce que vous vous moqueriez de moi si je commençais à vous parler de philosophie.

MC5 m'a tuer a écrit:

je trouve House hyper balèze sur toutes les saisons mais je vous expliquerai pas pourquoi parce que vous vous moqueriez de moi si je commençais à vous parler de philosophie.

Chiche.

Non, sans déconner, et promis on se moquera pas, développe. J'ai beaucoup aimé House, j'ai beaucoup moins apprécié quand ils ont commencé à refiser de faire avancer le truc et ont même reculé (vers la saison 6, quoi). Donc avance sans crainte.

Ouais, vas y, défends la philosophie dans House, toi qui t'offusque quand je dis me foutre de la mort de quelqu'un. Hurk hurk hurk.

Non mais déjà il n'est pas indifférent à la mort de ses patients.

Deuxièmement, je m'offusque pas quand tu dis te foutre de la mort de quelqu'un (le pelé du bout du monde ou du village, soit...), mais je comprends pas qu'on puisse n'avoir rien à cirer de la mort d'un mec talentueux (donc qui a au moins un motif de satisfaction) pendu à 23 ans. Note bien, c'est peut-être parce que t'as passé les 23 ans. Mais moi, j'imaginais que, passés 15 ans et ta période dark, le suicide attendait au moins 27 ans, histoire d'être sûr que ta vie va être merdique. Ca réduit considérablement mon espérance de vie cette histoire

Sinon vraiment pas chiche, Guic. Mais si tu veux, t'as une partie du business dans un bouquin qui s'appelle Philosophie en séries. Et le chapitre concernant House est très bien, quoique partiel - il ne s'attarde que sur un pan du tout. A la limite, je peux te lister quelques sujets qui sont traités profondément dans la série : la vérité, l'intelligence, le bonheur (et donc, à travers tout ça, l'amitié, l'amour, la religion, la mort, l'action, etc.). Soit, ça fait tarte à la crème, mais t'as déjà trois gros piliers de la philosophie, et les mecs apportent des réponses subtiles, précises et valables aux traditionnelles questions. Je vois dans mes cours de prépa, à chaque cours, on pourrait caler House - sans blague, Socrate, Epicure, tous ces types, tu les retrouves assez facilement (). Les gros "problèmes" de la philosophie grecque, House les traite avec subtilité.
Et puis je trouve le personnage parfaitement fascinant, bien plus profond et complexe que la caricature d'enculé qu'on en fait (et dont t'entendras parler à chaque fois que tu avoues regarder la série en public - ce que je ne fais jamais, parce que soit j'accepte qu'on en dise des choses que je trouve connes, soit je suis obligé d'expliquer en quoi c'est profond et je me chie lamentablement parce que j'en suis incapable ).

A part ça, je ne trouve pas qu'ils refusent d'avancer à partir de la saison 6. A la limite, on peut trouver ça poussif sur le papier, quand on lit un résumé de l'intrigue (ouais House sort avec Cuddy, c'est compliqué, ils cassent, oh zut alors, est-ce qu'ils vont se remettre ensemble, oui, ah non), mais je trouve qu'ils la mènent finement. C'était un passage obligé, ils s'en tirent bien, et ça permet justement de mettre sur le tapis beaucoup d'interrogations sur la cohérence du personnage de House, ça relance vraiment la machine - peut-être un peu trop vite, d'ailleurs, ça ne prend pas le temps de se poser, c'est le seul reproche que je peux faire aux scénaristes sur l'écriture de la relation entre les deux. En plus, le fait qu'Edelstein se soit barrée avant la fin de la série et coupe court à tout évite une happy end qui aurait pu être regrettable pour la crédibilité du truc. Et puis la deuxième moitié de la dernière saison clôt extrêmement bien le tout. Un peu rapide peut-être sur la fin, mais tu te rends compte a posteriori qu'ils sont en fait super bien fichus (le plus représentatif de cela étant le dernier épisode, que tu regardes en te disant un peu qu'ils ont joué les gros fainéants sur le coup - ce qu'ils ont été, par ailleurs, le coup de la première hallu était dément la première fois, à la fin de la 5, mais celui-ci est pas très bien branlé - et dont on a l'impression qu'il se termine en queue de poisson, mais auquel tu repenses régulièrement en comprenant peu à peu le sens et en trouvant finalement que c'est plutôt balèze, parce qu'il propose une réponse pas évidente et qui se tient aux questions que la série pose, et permet surtout d'achever par une dernière pierre l'édifice philosophique complexe de House, en lui accordant la cohérence absolue) ().
Pour finir, y a de réels coups d'éclat dans la mise en scène. (ça c'est pour donner un peu de crédibilité à mon point de vue)


edit : De toute façon, Guic', je connais ta théorie sur les six saisons d'une série et les suivantes, je te soupçonne de l'appliquer indistinctement.

(je parie que c'est à cause du personnage de Chandler qui se pète la gueule à la 6, ça t'a traumatisé lorsque tu étais encore un enfant)

je viens de voir les deux premiers épisodes de Homeland....OUCH ! Ben je crois que je vais regarder les suivants hein

MC5: J'entends bien ce que tu veux dire. Après, sur un plan beaucoup plus terre à terre, justement, tu verras aisément que House n'est pas une grande série, ne serait-ce que parce qu'à quelques exceptions près (et à de bonnes trouvailles de mise en scène près, effectivement:j'ai en tête l'épisode du cours magistral dans la saison 1, l'épisode ou le patient c'est Foreman, l'épisode du Locked-in Syndrome...) )le schéma narratif est toujours, toujours, toujours le même. Et souvent, tu peux sauter de la 10eme minute (début du diagnostic) à la 35eme (3eme traitement et résolution de l'affaire) sans avoir trop rien raté.

Ensuite, tu te méprends, je pense, quand je parle de "recul" sur la saison 6, c'est pas du tout l'histoire House-Cuddy (ça c'est la 7), mais le fait qu'en 3 épisodes au début de la saison 6, les scénaristes se débarrassent de l'équipe d'assistants formée dans la saison 4 pour rappeler la bonne vieille team des débuts. A mes yeux, c'est un aveu d'échec de leur renouveau du casting.


Au contraire, du point de vue "structure", le parallèle avec Friends est judicieux, en ce sens que, pour moi, la résolution du "Will they / Won't they" (House & Cuddy / Ross & Rachel), fait que, dans la période où ils sont ensemble, les scénaristes développent bien le concept, et l'abandonnent quand ils ne trouvent plus quoi y ajouter. (D'ailleurs, dans Friends, c'est le meilleur passage de toute la série à mes yeux)
C'est juste trop dommage que dans House ça aboutisse à ce que l'ouverture de la saison 8 soit une resucée de celle de la saison 6.



Enfin, la "théorie de la saison 6". Tu ne dois pas bien la connaître, vu que je n'applique ça qu'à Friends, où c'est flagrant qu'à partir de la saison 6, on est pllus dans le même esprit. C'est pas le chiffre de la saison, c'est juste qu'à un moment, on abandonne la recherche et on chute dans la recette. (How I met, c'est la mi - saison 5 par exemple)

Regarde Friends au début, ce à quoi correspondent les persos.
Saison 5, on perd Ross (qui devient un loser dépressif poissard totalement pathos) et Chandler (qui perd déjà une bonne partie de son mordant)
Saison 6, on perd Joey (qui était quand même plus profond que le crétin fini auquel il est cantonné dans la fin de la série et qui se résume à ce regard de "je comprends après tout le monde", puis Phoebe, qui devient juste une allumée...
Reste à forcer le trait sur la maniaquerie de Monica (en même temps, son but dans la vie c'était d'être mariée, une fois qu'elle arrive là... ben t'as plus rien à développer) et tu te retrouves à ce que, paradoxalement, c'est le personnage le plus superficiel de la saison 1 qui a le plus de profondeur dans la dernière (et poussive) saison 10.

Une série sur la musique vient de débuter, Nashville :



The series stars Connie Britton as Rayna James, a legendary country music superstar, whose stardom begins fading. Her producers offer her a joint tour with the up-and-comer Juliette Barnes (Hayden Panettiere), the young and sexy future of country music. But both singers are pursuing their goals. Juliette wants to take the place of Rayna. Rayna thinks that a few songs written by talented author Scarlett O'Connor (Clare Bowen) will help to revive her success. Rayna's father is Lamar Wyatt (Powers Boothe), a powerful politician in Nashville, who forced her to marry Teddy Conrad (Eric Close), who lives on her money.


Ca semble mériter un petit coup d'oeil.

A ne pas voir par contre, mais je vous colle la BA pour des raisons de tronche de cake au casting :

Je pourrai également citer dans les ouvertures d'hier l'inquiétante adaptation de Green Arrow.

ZiGGy a écrit:

Je pourrai également citer dans les ouvertures d'hier l'inquiétante adaptation de Green Arrow.

Par les mecs qui ont fait Smallville.
Ca risque d'être du lourd.

Guic' the old a écrit:

Après, sur un plan beaucoup plus terre à terre, justement, tu verras aisément que House n'est pas une grande série

Je m'incruste
Je ne connais pas beaucoup Dr.House (à part le fait qu'il ne soit pas Mickey Mouse) mais j'suis d'accord avec toi quand il s'agit, à un moment, de rester un peu terre à terre. Loin de moi l'idée de faire de l'anti-intellectualisme mais des fois il faut savoir s'arrêter à un certain niveau d'analyse quand on parle de trucs populaires, et par exemple de séries...qu'il y ait un background philosophique ok, mais c'est pas pour ça que ça en fait une bonne série, puisque, dans sa nature c'est quand même un truc de divertissement

Récemment j'ai acheté l'anthologie Pépito en BD, chez Cornélius. Il y a une préface d'un jeune universitaire qui s'enfonce dans des strates d'analyses métaphysiques qui sont juste abusées...Alors que c'est juste PEPITO merde

Ou c'est comme ceux qui disent que Booba c'est le nouveau Céline...même si je trouve que son sens de la punchline et son utilisation des figures de style est ouf, faut pas déconner non plus...

Voila voila

Citation :

mais c'est pas pour ça que ça en fait une bonne série, puisque, dans sa nature c'est quand même un truc de divertissement

Ben non, justement, ça s'en donne les airs (grâce au schéma narratif dont parle Guic', qui permet à n'importe qui de regarder la série n'importe quand), mais ce que j'essaie de dire c'est que c'est un peu plus que ça, et que c'est pas dû à la bonne fortune (en gros, je divague pas en parlant de philo).
Pour revenir sur le schéma narratif, je trouve au contraire que c'est pas un défaut. C'est comme une chanson : intro/couplet/refrain/couplet/refrain/outro, ça ne rend pas la série moins bonne. Cela dit, c'est quelque chose que je reprochais à la série quand j'ai commencé à la regarder, à coups de trois épisodes toutes les deux semaines. Le fait est que House, comme la plupart des autres séries, je suppose, s'apprécie vraiment quand on se l'enfile d'un trait, elle est bien moins immédiate qu'il n'y paraît. Et ce schéma narratif devient quelque chose d'assez secondaire (au final, on se fout de l'énigme médicale), il laisse place à une autre narration d'un autre niveau (en gros, la construction du personnage de House et sa recherche de cohérence) qui ne rend pas du tout superflues les 25 minutes dont tu parles, Guic'. Elles font partie du processus de maïeutique de House, utilisé exactement de la même manière et pour les mêmes fins que Socrate l'utilisait. (sauf que House est encore plus rationnel que Socrate en refusant de voir ses patients - il allie quasi parfaitement raisonnement inductif et raisonnement déductif) (désolé Boris )

Après sur ta théorie de la saison 6, je te chambrais, ah ah
Pas tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne le retour de la vieille équipe, les autres reviennent régulièrement après aussi, et un personnage comme Numéro 13 est central dans la série. Je ne crois pas que ce soit un désaveu du casting, il me semble au contraire que ce soit dû au succès de celui-ci (Olivia Wilde a commencé à tourner plusieurs films à ce moment-là). Le but est de lier les deux équipes et d'en ressortir une troisième pour faire une sorte de dream team, ce qui n'est pas idiot (une troisième équipe totalement neuve aurait vraiment fait gimmick, pour le coup, et aurait été contradictoire en cantonnant House à son personnage d'enflure).

Citation :

Au contraire, du point de vue "structure", le parallèle avec Friends est judicieux, en ce sens que, pour moi, la résolution du "Will they / Won't they" (House & Cuddy / Ross & Rachel), fait que, dans la période où ils sont ensemble, les scénaristes développent bien le concept, et l'abandonnent quand ils ne trouvent plus quoi y ajouter. (D'ailleurs, dans Friends, c'est le meilleur passage de toute la série à mes yeux)
C'est juste trop dommage que dans House ça aboutisse à ce que l'ouverture de la saison 8 soit une resucée de celle de la saison 6.

Ben ouais, mais quand ils abandonnent le concept, ils le font pas à moitié. Le fait que Cuddy se barre est totalement bienvenu, ça rend la chose particulièrement crédible (on en reparle une fois de temps en temps comme d'une ex avec qui ça se termine très mal et puis... voilà).
Assez d'accord par contre en ce qui concerne le début de la saison 8. Comme pour la fin, ils ont joué les fainéants, c'était pas hyper judicieux (même si ça peut se justifier avec encore un peu plus de mauvaise foi) (je considère que chaque évènement - et chaque resucée d'un évènement -, tout bancal soit-il dans son écriture, a une importance et un sens au regard de l'entièreté de la série).

Après, je ne veux pas trop t'écouter en ce qui concerne Friends, j'en suis justement à la saison 6 et je ne veux pas perdre mes copains. (même si je crois que t'as un peu raison)

Tout ça sur House ?

Qu'est ce que ça va donner quand tu découvriras Mad Men ou Boardwalk Empire, de "vraies" séries quoi ( )

Il me semble que tu négliges totalement le côté "industriel" de la production de séries aux US, MC5... Tu crois qu'arrivés à la huitième saison, les auteurs se sont dit "voilà, bouclons une boucle et nous serons en paix, tout sera dit"?

Que les audiences déclinantes n'ont pas joué, ni le refus de Hugh Laurie à reconduire son contrat? Que la fille qui arrive dans la saison 8 est une véritable volonté d'insérer un nouveau personnage, et non pas une vaine tentative d’accrocher le public male désemparé par les départs de Cuddy, 13 et ... je sais plus son nom, la femme de l'australien, là?

Après, d'accord avec toi sur le fait que House n'est pas que un enfoiré - sinon on n'aurait pas cette sorte d'admiration pour lui. Cette image distordue est surtout due, à mon avis, au fait que beaucoup de séries s'en sont inspiré, se permettant d'avoir comme personnage principal une personne loin d'être parfaite, mais ne retenant de House que cela: c'est une tête de con. Alors qu'en fait, en un sens, c'est un personnage extrêmement "pur", et plein de rigueur morale.

Cool Jerk a écrit:

Tout ça sur House ?

Qu'est ce que ça va donner quand tu découvriras Mad Men ou Boardwalk Empire, de "vraies" séries quoi ( )

Boardwalk Empire, c'est très surfait.

Moi ce que je crains, c'est MC5 découvrant le Prisonnier ou Twin Peaks. On va le perdre.

Guic' the old a écrit:

Moi ce que je crains, c'est MC5 découvrant Poly en Tunisie ou Nans le Berger. On va le perdre.

c'est courru d'avance

Guic' the old a écrit:

Boardwalk Empire, c'est très surfait.

Stoi l'surfait.

Je recentre rapidement : on a affaire à un gars qui fait fac de philo depuis 1 mois et qu'écrit des tartines sur une série poubelle.

Ce gars ne va pas en cours et se drogue devant sa télé, c'est évident...

Sinon Boardwalk c'est bien, juste dommage qu'ils aient tué Darmody...

young-men-dead a écrit:

Ou c'est comme ceux qui disent que Booba c'est le nouveau Céline...même si je trouve que son sens de la punchline et son utilisation des figures de style est ouf, faut pas déconner non plus...

on appelle cela surinterprété mais ouai totalement OK avec toi

Guic' the old a écrit:

Cool Jerk a écrit:

Tout ça sur House ?

Qu'est ce que ça va donner quand tu découvriras Mad Men ou Boardwalk Empire, de "vraies" séries quoi ( )

Boardwalk Empire, c'est très surfait.

Moi ce que je crains, c'est MC5 découvrant le Prisonnier ou Twin Peaks. On va le perdre.

1. Quand on a des couilles, on dit simplement "mauvais".

2. Imagine sa découverte de The Wire, Deadwood, Treme, Coupling, The Thick of It, State of Play, Oz, les Sopranos, l'Homme du Picardie, Boston Legal, The Sield, Carnivale, Luck, des mini-séries sans une seconde de trop comme John Adams ou Generation Kill, et tous les trucs géniaux que j'oublie.

hug0 a écrit:

Sinon Boardwalk c'est bien, juste dommage qu'ils aient tué Darmody...

Ouep, du coup j'appréhende la saison 3

beat4less a écrit:

Je recentre rapidement : on a affaire à un gars qui fait fac de philo depuis 1 mois et qu'écrit des tartines sur une série poubelle.

Ce gars ne va pas en cours et se drogue devant sa télé, c'est évident...

ah ah ah c'est un peu ça ouais

(aujourd'hui j'ai trouvé que je me suis évanoui en me levant après une très dure semaine, j'ai hâte de voir leur tronche quand je vais leur dire ça demain)

(si vous avez une meilleure excuse, chuis preneur)