« Comment faire l’histoire du rock en France aujourd’hui? »

J'avais eu l'info il y a quelque semaines par Ratel. Le séminaire « Comment faire l’histoire du rock en France aujourd’hui? » de l'IRHIS, se tient environ tous les mois le mercredi, au centre Malher, 9 rue Malher, 75004 Paris (métro : Saint Paul).

J'étais persuadée que la séance du mois était le 8, j'ai donc loupé le séminaire sur la presse rock/critique rock où intervenait P. Manoeuvre

comment c'était, si certains y sont allés.. ?

prochain séminaire le 11 mai 2011 : Histoire et mémoire : Journalistes et historiens (2)
Samuel Kirszenbaum (photographe, journaliste, rédacteur en chef adjoint
de Vox Pop, historien de la photographie) : Rock et photographie.
Stéphane Lebecq (historien, Université de Lille 3-IRHiS) : Entre Moyen
Âge et rock’n roll, les chemins de traverse d’une passion anglaise.

très sympa, rigolo, peu analytique

bon, je suis verte..... je remets ça dans un mois

donc, hop, c'est demain

C'est a quelle heure??

14h-16h

Merde.

première séance du séminaire Autour des légitimités musicales ce matin : complètement

Spoiler:

Une des participantes s'appelle Sara Le Menestrel. Ca ne peut qu'être bien avec un nom comme ça

Infrason a écrit:

Une des participantes s'appelle Sara Le Menestrel. Ca ne peut qu'être bien avec un nom comme ça

directrice du séminaire. elle bosse sur la différenciation cajun / zydeco, entre autres.
et ma voisine de chaise bosse sur les collecteurs de la bibliothèque du congrès (Lomax bien sûr, et les autres) dans l'entre-deux-guerre
mais c'est encore la pertinence et la clarté des problématiques, quelques soient les thèmes, qui gagnent le pompon . je suis orgasme intellectuel.

hop !

Citation :

Chers amis, chers collègues,

Nous avons le plaisir de vous inviter à
assister à la première séance de l’année 2012 du
séminaire consacré à

L'histoire
sociale du rock

Mercredi 22 février, de 14h à
16h
Dans l'amphithéâtre du centre Malher
9 rue Malher,
75004 Paris (métro : Saint Paul)

Invités de cette séance :

• Hervé Mazurel (historien, université
  d’Orléans) : « Cultures sensibles et identités de groupe. Du musicien à
  l'historien et retour »
  
• Dominique A (auteur,
  compositeur, interprète) : discussion autour de ses 20 ans de carrière et des
  évolutions de la scène rock française au cours de cette
  période.
  

(voir les présentations
ci-dessous)

En espérant avoir le plaisir de vous y
retrouver, nous vous prions de croire en l'expression de nos meilleures
salutations,
Florence Tamagne (université Lille 3)
Arnaud Baubérot (université Paris-Est
Créteil)


Hervé Mazurel
Agrégé et docteur en
histoire (Désirs de guerre et rêves d'ailleurs. La
croisade philhellène des volontaires occidentaux de la guerre d'indépendance
grecque (1821-1830), soutenue en 2009), Hervé Mazurel est
actuellement ATER à l’université d’Orléans. Il co-anime un séminaire à l’EHESS
consacré à « L'histoire des sensibilités : un territoire-limite ? ». Il a été,
par ailleurs, l’un des guitaristes du groupe Jack the Ripper, de 1995 à
2008. Il participe, depuis cette date, à la formation The Fitzcarraldo
Sessions.

Dominique
A
Présent sur la scène rock depuis la
sortie en 1992 de La Fossette, produit par le label nantais Lithium,
Dominique A est considéré comme un artiste novateur qui a fortement contribué au
renouvellement du rock français dans la décennie 1990. Ses vingt ans de carrière
sont jalonnés par 8 albums ainsi que plusieurs enregistrements en concert et
compilations.

entre nous, j'aurais pu passer de leur "grand témoin" du jour

1. Mais pourquoi tu préviens que la veille??????? !!!!!
2. Certes, mais Dominique A n'a ^pas fait que de la merde non plus... (mais ca doit manquer de "venin" ;-) )

Guic' the old a écrit:

1. Mais pourquoi tu préviens que la veille??????? !!!!!

à ma décharge, j'ai eu le mail dimanche soir

Citation :

2. Certes, mais Dominique A n'a ^pas fait que de la merde non plus... (mais ca doit manquer de "venin" ;-) )

disons que c'est pas mon premier choix à écouter me raconter sa carrière

Putain pile poil la semaine où je reprends le boulot... Bon en même temps l'évocation de la carrière de Dominique A me laisse, au mieux, de marbre... Je crois que c'est quand même un problème (bien français) de faire une conf' sur "l'histoire sociale du rock" et d'inviter Dominique A... Il y avait pas plus "rock" en stock ?
Je tiens à préciser que j'ai du respect pour Dominique A !

Frankystooge a écrit:

Putain pile poil la semaine où je reprends le boulot... Bon en même temps l'évocation de la carrière de Dominique A me laisse, au mieux, de marbre... Je crois que c'est quand même un problème (bien français) de faire une conf' sur "l'histoire sociale du rock" et d'inviter Dominique A... Il y avait pas plus "rock" en stock ?
Je tiens à préciser que j'ai du respect pour Dominique A !

question de définition du champ "rock" pour les sciences sociales (Beat va encore me taper dessus ) : c'est très difficile de trouver une définition opératoire du rock dans un sens restreint permettant de constituer un corpus cohérent à étudier, qu'elle soit musicologique, sociologique ou whatever, du coup la plupart des études, séminaires etc adoptent une définition large qui tend à rejoindre "musiques amplifiées"
Pirenne remarque assez finement que dans toute la myriade de "100 meilleurs albums de rock" et autres bidules du genre proposés par canards ou bloggueurs ou autres qu'il a étudié il y a toujours des trucs qui relèvent du folk, du reggae, du rap, de l'électro, du blues, de la country ou autres... Lui opte du coup pour un faisceau de critères dont le plus important est le primat de la forme enregistrée, mixée, travaillée en studio - il parle d'une musique "idéale" dans le sens où elle n'a jamais été jouée telle qu'elle, à cause de ce travail en studio. C'est un élément très saillant, mais personnellement j'aurais tendance à le nuancer en disant qu'une musique qui ne peut pas être exécutée, ou approximée, en live , n'est plus du rock (ce qui rejoint une question qu'il pose lui-même, "le rock progressif est-il encore du rock") - par ailleurs, je lui reproche un peu l'incohérence formelle d'inclure le rap par exemple dans son champ d'études et d'en exclure, sans vraiment de justification, le blues et la country. NB : allez voir son truc par vous-mêmes, je l'ai plus qu'un peu trahi dans cet hyper-résumé, et c'est quand même vachement bon).

Ouais, c'est clair que ça parait un peu hors sujet...

Mais bon. JE précise que je suis pas un gros gros fan de Dominique A non plus, mais quand même, il y a certaines de ces chansons que j'adore (qui touche de plein fouet la midinette en moi serait surement une présentation plus juste), genre ça:

et melde, me suis foutu à la bourre pour Modélisation des savoirs musicaux relevant de l'oralité - aujourd'hui : "Le jazz, l'Afrique et la contramétricité"

'jourd'hui :

Citation :

L'histoire sociale du rock



Mercredi 21 mars, de 14h à 16h
Dans l'amphithéâtre du centre Malher
9 rue Malher, 75004 Paris (métro : Saint Paul)

Thème de cette séance: sources et archives rock


Avec :

• Marc
  Kaiser (sociologue, Paris 3) : « Le
  CIDD : une institution méconnue de l’industrie phonographique »
  
  
• Anne
  Legrand (musicologue) et Pierre
  Pichon (responsable du dépôt légal des documents sonores à la BNF) : «
  Vogue, l’aventure d’une maison de disque »
  

programme général