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 Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)

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Macca-B
Chouman
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Chouman
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Localisation : SAINT-JEAN DE MAURIENNE
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MessageSujet: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 11:30

Alors que Sticky
Fingers, à sa sortie en avril 1971, entre directement à la première place des
« charts » des deux côtés de l’Atlantique, les Rolling Stones ne
peuvent s’accorder la pause qu’ils auraient pourtant méritée. En effet, Ahmet
ERTEGUN, patron de la maison de disques Atlantic chargée de la distribution des
disques publiés sous le nouveau label Rolling Stones Records, réclame un nouvel
album pour le printemps suivant.



Les Stones
connaissent alors des déboires pécuniaires. La gestion peu scrupuleuse de leur
ancien manager Allen KLEIN fait apparaître de lourdes dettes fiscales. C’est
ainsi que, sur une suggestion d’un ami, le Prince Rupert VON LÖWENSTEIN, habile
financier, ils décident de s’établir en France.



Charlie
WATTS et Bill WYMAN acquièrent ainsi des propriétés sur la Côte d’Azur, tandis
que Keith RICHARDS devient locataire de la luxueuse résidence Nellcote, à
VILLEFRANCHE-SUR-MER. Mick JAGGER est alors occupé à d’autres priorités :
il a rompu avec Marianne FAITHFULL et s’apprête à épouser le mannequin
nicaraguayen Bianca PEREZ MORENA. Ce mariage, célébré à SAINT-TROPEZ en
présence de plusieurs amis illustres dont Eric CLAPTON et Paul McCARTNEY,
marque le début de son appartenance à la jet-set.



Les
morceaux d’Exile on Main Street,
titre choisi en référence à leur exil fiscal, ont été composés en partie lors
des sessions de Sticky Fingers, aux
studios Olympic de LONDRES et au manoir de JAGGER, à
Stargroves, mais l'essentiel
du travail sur l'album sera effectué
dans la villa occupée par Keith RICHARDS. Pour de
nombreuses raisons, les séances d’enregistrement de l’album
« français » des Stones
demeurent
mythiques près de quarante ans plus tard. Plusieurs ouvrages y ont été consacrés,
notamment le récent Exile On Main Street
– Une Saison En Enfer avec les Rolling Stones
de Robert GREENFIELD.



Tout
d’abord, les conditions d’enregistrement de l’album se révèlent
particulièrement éprouvantes. Outre que les séances prennent fin, comme à
l’accoutumée, au milieu de la nuit, les musiciens s’installent le plus souvent
dans la cave de Nellcote, où règne une chaleur insupportable. Quant à
l’humidité, elle complique fortement l’enregistrement puisque les instruments
se désaccordent très rapidement. Le producteur Jimmy MILLER et l’ingénieur du
son Andy JOHNS doivent opérer depuis le studio mobile de Mick JAGGER installé à
l’extérieur de la villa.



Par
ailleurs, Nellcote prend des allures d’auberge espagnole. Le plus souvent, une
vingtaine de personnes y réside. Certaines d’entre elles sont présentes pour
des motifs artistiques, notamment Gram PARSONS, ou encore le photographe
Dominique TARLÉ qui immortalisera les séances. Cependant, les maîtres des lieux,
Keith RICHARDS et Anita PALLENBERG, sont également entourés de véritables
« parasites », qui encouragent le style de vie décadent de la troupe.
La consommation de drogues, notamment d’héroïne pour RICHARDS, devient démente,
ce qui expliquera en partie la longueur des sessions, six mois au total.



Selon de
nombreux critiques rock, Exile on Main
Street
constitue le plus grand chef d'oeuvre des Rolling Stones. Tous les
fans ne partagent pas cet avis, tout d'abord parce que l'album contient peu de
titres phares, contrairement à Sticky
Fingers
, par exemple, qui introduisait l'un de leurs plus grands standards,
« Brown Sugar ». Par ailleurs le mixage, réalisé successivement dans
deux studios de LOS ANGELES dont le fameux Sunset Sound, se révèle
particulièrement brouillon et la voix de JAGGER n'est parfois guère en avant,
semblant ainsi moins puissante qu'à l'accoutumée. Cette impression est
ressentie par exemple sur « Rip This Joint », rock au tempo pourtant
très enlevé.



On peut
aisément reconnaître que peu de titres se détachent à la première écoute, même
si « Tumbling Dice » s'est très rapidement trouvé intégré au
répertoire du groupe dès la fameuse tournée américaine de 1972, surnommée
Stones Touring Party (STP). Ce rock aux accents soul figure encore aujourd'hui
parmi les plus appréciés lors de leurs concerts. Quant à « Happy »,
il est rapidement devenu un morceau de bravoure de Keith RICHARDS au micro.



On nuancera
néanmoins cette affirmation puisque les tournées récentes proposent
régulièrement des extraits de Exile on
Main Street
. Ainsi, le concert Shine
a Light
filmé par Martin SCORSESE, sorti en salles en 2008, comporte comme
le suggère son titre emprunté au « tracklisting » de l’album, des
interprétations de « All Down the Line » et de « Loving
Cup », sur laquelle le chanteur des White Stripes, Jack WHITE, réalise un
duo avec Mick JAGGER.



Cependant,
« Exile » se caractérise par
une grande homogénéité. Bien qu'il s'agisse d'un double album, il ne comporte
aucun titre de « remplissage ». L'ensemble des morceaux s'inscrit
dans une véritable ambiance, plus bluesy que la plupart des plages de son
prédécesseur Sticky Fingers. Par ailleurs
les Stones s'offrent des incursions dans la country et même le gospel avec
« Let It Loose ». Ces diverses influences, de même que le sentiment
de désinvolture parfois ressenti à l'écoute de l’album, contribuent à faire de Exile on Main Street un disque de
référence.



Les titres
d'inspiration strictement rock figurent cependant de manière assez notable sur
l'album. Le morceau d’ouverture « Rocks Off » en constitue
l'illustration, les guitares portant la signature habituelle de RICHARDS.
« All Down the Line », bien que connu surtout des inconditionnels des
Stones, apparaît comme l’extrait le plus proche de leurs standards. Le chant de
JAGGER retrouve sa puissance habituelle et le refrain final est entraînant,
notamment grâce aux choeurs et à l'intervention des cuivres, à la manière de
plusieurs titres de Let it Bleed ou Sticky Fingers. Enfin l'album se clôt
sur « Soul Survivor », où Keith RICHARDS tient la basse, laissant son
compère Mick TAYLOR interpréter des riffs de guitare acérés.



Exile on Main Street se teinte fréquemment de blues. Alors
que le mid-tempo « Casino Boogie » séduit par son aspect désinvolte,
d'autres titres se montrent plus rugueux. Il en est ainsi de « Ventilator
Blues », qui aurait été inspiré par le climat étouffant de la cave de Nellcote.
« Stop Breaking Down » constitue un nouveau rappel des racines blues
des Stones. Il s’agit en effet d’une adaptation d’un morceau de Robert JOHNSON.
On peut également évoquer « Turd on the Run », construit sur un
rythme endiablé et rendu hypnotique par la performance de JAGGER à l’harmonica.



En outre,
les influences country sont très présentes. Les authentiques
« Sweet
Virginia » et « Torn and Frayed » doivent certainement beaucoup
à Gram PARSONS. Ce musicien ne s’entendait hélas guère avec JAGGER. S’il fut
très présent aux côtés de RICHARDS lors des séances, les deux amis ne se
reverront plus par la suite. PARSONS serait retrouvé mort en 1973 dans une
chambre d’hôtel, vraisemblablement d’une overdose.



En dépit de
son mixage brouillon, l’album bénéficie d’arrangements parfois remarquables. On
peut notamment citer les parties de piano du fidèle Ian STEWART sur « Stop
Breaking Down » ou encore l’orgue de Billy PRESTON, qui apporte une touche
gospel à « Shine a Light ».



Si les
seventies débutent triomphalement pour les Stones, les années suivantes les
verront parfois peu inspirés. Si Goats
Head Soup
, qui paraît en 1973, conserve de nombreux adeptes grâce à
quelques très bons rocks tels que « Silver Train » et « Doo Doo
Doo Doo Doo (Heartbreaker) » ainsi qu’à la somptueuse ballade
« Angie », la publication l’année suivante de It’s Only Rock ’n’ Roll marquera peu les esprits malgré son morceau
titre très réussi.



Il faudra
attendre 1978 et Some Girls pour que
les Stones retrouvent véritablement l’inspiration, en incorporant des
influences punk. Depuis Tattoo You,
album qui dévoilait en 1981 un nouveau titre majeur, « Start Me Up »,
les Stones ont connu des fortunes diverses sur le plan artistique. Il faut dire
les Stones ont souvent défrayé la chronique au cours des années 1980, JAGGER et
RICHARDS se déchirant publiquement en raison des projets solo du chanteur et de
son refus de défendre Dirty Work en
tournée en 1986. Bill WYMAN choqua quant à lui l’opinion publique lorsque la
presse à scandales révéla sa liaison avec Mandy SMITH, une adolescente âgée de
treize ans lors de leur rencontre !



Le
légendaire combo continuera cependant d’enregistrer des albums souvent bien
accueillis par la critique. Le dernier en date est paru en 2005 : A Bigger Bang, très réussi, a été suivi
d’une gigantesque tournée mondiale, au cours de laquelle un concert donné sur
la plage de Copacabana à RIO a réuni pas moins d’un million de
spectateurs !
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Macca-B
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 11:33

euh t'as pas un lien vers le blog ou tu publies ça ?
parce que là ça donne pas trop envi de lire...

et puis c'est pas la vocation d'un forum...

merki! Smile
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Peter Mermoz Steinhauser
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 12:12

Il me semble aussi. La ligne du comité central me semble être davantage de faire découvrir des choses méconnues, ou de faire redécouvrir des choses plus ou moins oubliées ou sous-estimées, que de parler d'albums archi-connus. Certains vont même jusqu'à parler des ... nouveautés !!! (Pourquoi, grands dieux, pourquoi ?). Étant moi-même assez marginal par rapport à la ligne, je me permets dans "oh oui, causons jazz" de parler d'albums qui ne sont pas forcément familiers à beaucoup, mais qui peuvent constituer de pertinentes découvertes. J'ai frisé par ailleurs l'honnissement général en m'obstinant à parler de prog, avant d'adopter avec enthousiasme la motion de synthèse présentée par le camarade Béro, dialecticien hors pair (on ne le dira jamais assez), sur l'Avant-gardisme surréaliste aventureux.
Et puis "Bill WYMAN choqua quant à lui l’opinion publique
lorsque la
presse à scandales révéla sa liaison avec Mandy SMITH"
, c'est pas Closer ici, tout de même.Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) Lol
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Béroalde De Feuze
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 15:32

Oh, les gars, le péché est véniel.

Si un quarteron de Naasts débarquaient subito pour coller des reviouves intégrales de Deep purple live in Japan ou de Derek and the Dominos partout dans le forum, des mesures répressives s'imposeraient, mais là...


(A la limite, on pourrait conseiller de regrouper ces articles en un seul fil, pour éviter l'éparpillement envahissant des petits cailloux.)
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Eric
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 18:03

Le problème vient surtout du fait que quand on colle un texte sur le forum, la mise en page fout le camp (ne me demandez pas pourquoi, ça dépasse mes compétences techniques), du coup la lisibilité en prend un coup.

Après, quant à la ligne du comité central, elle vaut pour le blog, et ce que j'y écris. Le forum, c'est freestyle
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 19:54

Béroalde De Fuzz a écrit:
coller des reviouves intégrales de Deep purple live in Japan
Je peux essayer de retrouver la mienne si tu veux.
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 20:10

"Cynthia Ann Stephanie Lauper Thornton, dite Cyndi Lauper, est une chanteuse américaine née le 22 juin 1953 à Brooklyn, New York.

Cyndi grandit à New York, dans les quartiers de Brooklyn, élevée à partir de ...."


Ah ben pourquoi j'arrive plus à me connecter au forum, c'est bizarre...


Edit : enlevé l'essentiel de la citation pour pas empiéter sur les droits de la source (pour du Cyndi, ça en vaudrait vraiment pas la peine, hé !)


Dernière édition par ratel le Mer 16 Juin - 12:28, édité 1 fois
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Peter Mermoz Steinhauser
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 20:17

N'empêche t'a l'air hyper calé sur Cyndi ! Chapeau !
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 20:22

ben quoi, j'écoute pas QUE du blues (n'empêche que je devrais pas trop la ramener, vu la tolérance qui a accueilli ici mes obnibulations musicales et la façon dont j'en ai régulièrement abusé... merci encore de m'avoir accordé l'asile politique, les gars)

la chronique, euh, citation. je laisse un peu la blague et je l'écrase.
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Peter Mermoz Steinhauser
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMar 15 Juin - 20:33

Chouman a écrit:

Charlie
WATTS et Bill WYMAN acquièrent ainsi des propriétés sur la Côte d’Azur, tandis
que Keith RICHARDS devient locataire de la luxueuse résidence Nellcote, à
VILLEFRANCHE-SUR-MER. Mick JAGGER est alors occupé à d’autres priorités :
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nicaraguayen Bianca PEREZ MORENA. Ce mariage, célébré à SAINT-TROPEZ en
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Pourquoi les NOMS PROPRES sont-ils en MAJUSCULES ?
Ceci dit, je ne me doutais pas que BIANCA fut nicaraguayenne !!!!Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) Alien
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMer 16 Juin - 9:39

Eric a écrit:
Le problème vient surtout du fait que quand on colle un texte sur le forum, la mise en page fout le camp (ne me demandez pas pourquoi, ça dépasse mes compétences techniques), du coup la lisibilité en prend un coup.

Après, quant à la ligne du comité central, elle vaut pour le blog, et ce que j'y écris. Le forum, c'est freestyle

Le problème est surtout qu'un forum est un lieu d'échange, court, lisible, instructif, qui peut parfois déraper dans le futile ou le gratuitement amusant,
mais pour tartiner 10 paragraphes que 10% des forumeurs liront (et je suis gentil) le blog est plus approprié,
non ?
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Chouman
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMer 16 Juin - 11:07

Je ne pensais pas déclencher un tel tapage avec un article sur les Stones ! Peut-être que le blog serait plus approprié, mais voilà j'ai peu d'expérience des forums et je n'ai pas de blog.

Sinon quant à ma remarque sur Mandy Smith, je ne suis pas passionné par la vie sexuelle des Stones, mais il me semble que leur réputation sulfureuse fait partie de la légende, non ?

Enfin au sujet des noms propres en majuscule, c'est juste que ça m'amuse de les écrire comme ça.

Salutations
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMer 16 Juin - 12:26

le prend pas mal, chouman, c'est juste un poil de délire
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) EmptyMer 16 Juin - 13:42

ratel a écrit:
le prend pas mal, chouman, c'est juste un poil de délire
Voui, idem pour moi. Mais l'idée de regrouper, suggérée par Béro, serait hyper tinente. Je te laisse le choix du titre. Je te préviens que c'est un peu réactif sur les Stones dans le coin ....
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MessageSujet: Re: Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones)   Chronique de " Exile on Main Street " (Rolling Stones) Empty

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